Et si nous parlions de la névralgie d’Arnold ?
Névralgie d’Arnold, arnoldalgie, occipitalgie ou encore névralgie du grand occipital sont des pathologies similaires regroupées sous des noms différents.
Derrière ces dénominations nous retrouvons un ensemble de phénomènes douloureux :
Céphalées paroxystiques unilatérales (douleurs survenant sur un fond douloureux connu)
Douleurs vives et intenses allant de la partie postérieure du crâne et remontant celui-ci jusqu’à son sommet.
La douleur peut s’étendre à l’oeil (bien souvent les patients décrivent des douleurs rétro oculaires).
La douleur peut-être déclenchée à la pression de la partie postérieure du crâne ou une simple flexion de cou.
Décharges électriques ou des brûlures parfois associées à des larmoiements.
Ce que dit la médecine :
On les attribue en général au développement d’une arthrose cervicale, et comme telles reçoivent les traitements classiques de l’arthrose :
Analgésiques
Anti-Inflammatoires Non Stéroidiens
Si ces derniers ne sont pas suffisants à calmer la douleur :
Corticoïdes
Opiacés
Infiltrations
Ce que dit l’Etiopathie :
Les névralgies d’Arnold ont pour causes un accident articulaire entre les deux premières vertèbres cervicalgies (émergence du nerf d’Arnold).
La réduction des lésions étiopathiques articulaires amène à la disparition définitive des douleurs, au terme d’un traitement rapide de trois à quatre interventions environ.
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